Un an après l'effondrement de la rue d'Aubagne, qui a fait huit morts, les arrêtés de péril et les délogements continuent de pleuvoir, tandis que les personnes évacuées naviguent entre hébergements en hôtels, démarches kafkaïennes et difficultés matérielles, face à l'inertie et au mépris de la mairie de Marseille.
« Ni oubli, ni pardon ! Ni oubli, ni pardon ! » Pendant de longues minutes, le message est scandé par une foule de plusieurs centaines de personnes. L'action se passe au milieu de la rue d'Aubagne, (...)
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